Festival…

Soirée cinéma

Bon ce soir on va aller voir le film à la gloire du photographe de la belle famille (communions, mariages)…

On sait déjà que Rouve exècre le côté « nazi » du bonhomme alors je m’attends à tout sauf à un chef d’oeuvre.

True Wilder’s Cinema.

Somelike it hot, Billy Wilder, 1959

Sunset Bvld, Billy Wilder, 1950

Ah ça oui, il va y en avoir…

Après tout, écrit pour répondre à une offre d’emploi, il peut bien servir aussi à alimenter un peu PPCC.

There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson (Boogie Nights, Magnolia…), pourrait être un film sur la naissance d’une nouvelle forme de capitalisme. Un capitalisme moderne, un capitalisme effréné, un capitalisme où tout devient excessivement rapide (voitures, usines, navires ou centrales électriques et leurs besoins toujours grandissants de pétrole).

Mais la brillante réalisation et l’adaptation de la nouvelle d’Upton Sinclair permettent à ce film de se hisser dans un autre registre, celui de la transition d’une époque où le sacré va être balayé par le matériel.

Assurément Western, There Will Be Blood se regarde de la même manière que Daniel Plainview (Daniel Day Lewis) enfante son pétrole : avec passion. Face à la puissance du pétrolier, les paysans californiens offrent un prophète illuminé : Elie Sunday (Paul Dano : Little Miss Sunshine) dont la seule victoire – pourtant importante – semble être d’avoir accéléré (au cours d’une messe magistralement mise en scène) la démence de Daniel Plainview.

Une grande fresque qui s’attache à la folie d’un homme de génie, une ambiance comparable à Aviator de Martin Scorsese, sans que l’on sache véritablement si le récit est inspiré d’un personnage réel ou uniquement le fruit de l’imgination d’Upton Sinclair.

Morts du cinéma, encore.

Blow-up, Michelangelo Antonioni, 1966.

Sur le Passage.

Iskningar och rop, Ingmar Bergman, 1972.

Ciao.

Le Furet, Jean-Pierre Mocky, 2003.

Que j’aime Neil…

Lord of War, Andrew Niccol, USA, 2005.

The most explosive film of the 1960s is now the most important film of 2004.

Propagande rouge, exploitée à contre-emploi dans les écoles d’officiers:

La Bataille d’Alger, Gillo Pontecorvo, 1965.

On peut aussi se référer à Lost Command moins propagandiste, mais l’adaptation est plus libre et approximative historiquement:

Lost Command, Mark Robson, 1966.

France d’après ?

Brazil, Terry Gillliam, Embassy International Pictures, 1985.